Sherlock 21st Century
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Sherlock 21st Century

Forum RPG inspiré par la série Sherlock de la BBC
 
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 Joel Belsph - Oh Captain My Captain!

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AuteurMessage
Joel Belsph
Civil | Oh captain, my captain !
Civil | Oh captain, my captain !
Joel Belsph

•Messages : 175
•Arrivé(e) le... : 20/01/2011
•Fiche : [url=LIEN DE LA FICHE]BLAH[/url]
•Thème : Captain my Captain

Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  _
MessageSujet: Joel Belsph - Oh Captain My Captain!    Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  EmptyVen 21 Jan - 0:25

Must be so boring in the little head of yours !


Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  Fistanalyze
Nom : Belsph Essayez de le prononcer sans postillonner
Prénom(s) : Joël
Sexe : masculin
Date et lieu de naissance : 2 février 1954
Groupe : civil
Métier/Etudes: retraité – ex professeur de biologie
Ft [Jeremy Brett]

Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  Andthen

Physique

Il y a un reflet dans le miroir, un reflet fatigué. Oui, comme toi… Pourtant tu n’as pas trop vieilli, il y a pire. On peut facilement encore se souvenir du jeune homme qui était là avant. Il est pas totalement parti, oui…
Beaucoup de poches sous les yeux, t’en as toujours eu depuis tes études, mais maintenant elles partent moins facilement qu’avant. Comme les petites rides au coin des yeux, au coin de la bouche et au coin du cœur un peu aussi. Cet organe là aussi il vieillit…
Visage en lame de couteau, visage fermé, impassible lorsque les yeux sont clos, visage de gisant mortuaire… Rien de particulier dessus, rien de beau, rien de moche. Comme une pierre peinte, peut-être un peu plus chaude que le granit. Parce qu’il faut bien de la chaleur humaine pour vivre…

Les yeux sont le miroir de l’âme. En ce cas ton âme est verte et lumineuse. Elle brille, elle brûle comme un feu vivace et embrase ton visage. Ce qu’il y a de plus beau, ce qu’il y a de plus vivant en toi. Tes yeux, vieil homme, ce sont encore ceux d’un enfant…

Pas encore de fils blancs dans les cheveux soigneusement plaqués en arrière. Coiffure d’une autre époque, il y a des choses qui ne changent pas. Et pourtant, pourtant des mèches grises se voient finalement lorsque les cheveux deviennent tignasse pour la nuit. Lorsqu’il est seul chez lui sans personne pour le regarder par exemple. Sans personne pour voir ce petit vieillard pitoyable avec ses traits finalement trop tirés. L’alcool, les médicaments…au grand jour il cache toutes leurs traces sur son physique… Mais chez lui il faut bien que tombent les masques.

Les vêtements, toujours un costume…oui toujours. Même au collège, sous la grande blouse blanche. On a tellement l’habitude de le voir porter ça qu’on pense que ça lui va bien, qu’on oublie qu’il est maigre à présent, qu’il flotte dedans, qu’il n’est plus comme avant. C’est comme sa démarche, petit à petit elle devient celle d’un vieillard…

Mais toujours, il reste ses yeux d’enfants…

Caractère

Oh Capitaine, mon capitaine !
Le bâteau de la vie est vôtre et c’est bien selon votre psyché qu’il conduit les marées….
Que faut-il pour être un bon capitaine ? De la rage, de la gnaque… Un capitaine va toujours vers l’avant avec son désir de découvertes, c’est un fait. Et puis il veut avoir raison, toujours…. Alors le capitaine apprend à lire les signes, il se cultive plus, toujours plus… parce que c’est toujours mieux quand on a VRAIMENT raison.

O capitaine mon capitaine, vous parlez beaucoup vous savez ? Oui vous êtes bavard et tous les troupeaux de moussaillons que vous avez eu s’en souviennent. Parce qu’il y a toujours quelque chose à dire sur les sciences, sur la vie, sur les sentiments. Parce qu’il y a toujours quelqu’un à écouter, mon capitaine, avec vos yeux vifs et votre sourire grimaçant…

Oh capitaine, mon capitaine…parfois un petit mousse veut comprendre plus que les autres, alors mon capitaine, vous vous faites professeur…Vous aimez les enfants, vous adorez leur cerveau en construction, leur avenir qui se forme petit à petit sous leurs pieds comme un dessin de marelle…
Et pourtant vous, capitaine, vous n’aimez que le passé… Le Progrès est bien la seule chose où vous ne faites pas de progrès !

Capitaine, vous êtes la mer calme et profonde, vous êtes l’océan infini qui porte les bateaux, soutient les hommes…

Oh capitaine mon capitaine, vous coulez ! Votre bateau à vous ne veut plus avancer, il a perdu sa figure de proue. A quoi bon ? Ah quoi bon la lune, le soleil, les étoiles, à quoi bon les vagues et le chant des mouettes ? Tout s’efface lorsqu’il n’y a que la perte. Vos maux, vos larmes, ils ont l’odeur de whisky et toutes vos nuits sont noires, tellement noires. On ne peut plus y fermer les yeux…

Capitaine, vous vous noyez ?

Non ça va mieux. Un peu… c’est ce que vous dites… Beaucoup de mensonges mon capitaine, n’est-ce pas ? Beaucoup d’amour aussi pour ceux qui sont restés. Et tant de passion pour celle qui est partie…

Capitaine, vous savez tout de la logique, vous ne comprenez rien du monde.

Parce que celui-ci n’en possède pas…

Ravalez un peu votre tristesse, cher vieux capitaine. Non, il n’est pas encore temps pour vous de rentrer au port…

Ses relations :

Helen Belsph : Elle avait des yeux bleus et un sourire à réchauffer les cœurs de pierre. Il l’aimait, oui il l’aimait comme dans un film, comme dans un roman : avec toute son âme et toute sa vie. Helen était sa compagnie, celle qui lui avait pris la main lorsque lui qui observait tout avait compris que la Solitude régnait dans le monde. Et qu’il ne voulait pas être seul. Oh pour elle il aurait tout fait, sauf lorsqu’elle lui demandait de mettre son fatras autr epart que sur la table de la cuisine alors qu’il expérimente quelque chose d’important…
Mais les vieilles disputes font s’aimer encore plus les vieux amants.

Elle avait les yeux bleus et un sourire à réchauffer les cœur. Aujourd’hui elle a clos ses paupières et ses lèvres ne s’ouvrent même plus pour un soupir.

Mais il l’aime encore, oui…

Mycroft Holmes : Son garçon, que dire de plus ? Il l’aime comme un fils et son cœur fatigué se soulève de fierté lorsqu’il pense à lui, à ce qu’il est devenu. Un garçon intelligent, si Joel avait à en parler il ne serait pas objectif et lui trouverait tous les meilleurs qualificatifs du monde. Leur lien n’est pas coupé, il arrive que les deux hommes se voient. Et puis il y a la correspondance épistolaire…
Une fois Mycroft essaya de le faire se mettre au portable, la tentative sms fut désastreuse. En effet, Joel lui envoya avec le mode d’écriture automatique, au lieu d’un simple « j’espère pouvoir vous revoir à nouveau », « j’espère pouvoir vous caresser à nouveau ». Saleté de technologie…

Sherlock Holmes : Son autre garçon… Il apprécia s’occuper de lui également. Difficile de nouer une relation avec cet animal, avec beaucoup de patience, Joel y parvint. Il le voit de temps en temps. Rarement, plus rarement que Mycroft... En fait c’est beaucoup l’aîné qui lui donne des nouvelles du cadet. Il arrive également que Joel doive jouer les « tampons » entre les frangins. Lui, il n’a jamais eu de préférence, il leur a donné à tous deux son héritage intellectuel en son entièreté, il ne l’a jamais regretté.

Histoire
> Il vaut mieux savoir tout chercher que chercher à tout savoir.

Avant tout homme, il y a un enfant. Un enfant pour courir partout, sauter, jouer et apprendre. Un enfant pour vivre une jeunesse mouvementée entre les grandes affections et les gros chagrins, parce que c’est comme ça qu’il faut se construire.
Pour Joel se fut un peu différent : avoir un père maniaque de l’ordre n’aidait pas à devenir un bambin bien portant et hyperactif. Cela lui apprit cependant la discrétion : apprendre à marcher sur la pointe des pieds lorsque l’on passe devant le bureau de Père, lire plutôt que de jouer à la balle dehors et de casser un carreau (il essaya une fois, son instinct de survie lui conseilla de ne jamais caresser le rêve de devenir joueur de football) et surtout, écouter. Ecouter lorsque le adultes sont dans la pièce, les laisser parler eux plutôt que de parler soi-même.
Il eut de la chance, il se montra assez vite éveillé pour comprendre que les grandes personnes disaient des choses intéressantes. Alors non, écouter ne lui fut jamais ennuyant…
Une jeunesse sans heurts, des petites fissures cependant avec l’image d’un père bien trop là mais également bien trop absent. Un père qui préférait les livres, l’écriture et ne savait pas comment discuter avec son fils. Non, il ne lui parlait pas, comme s’il n’existait pas….

Comme pour rattraper le temps perdu, Joel fut un étudiant plus que remuant au collège. Il courrait des salles d’études jusqu’à la bibliothèque, de la bibliothèque jusqu’aux cours, des cours jusqu’à un chemin à suivre. Il courait juste pour courir, les cheveux aux vents et le cœur en bataille.
Avec son sourire et ses silences on s’approcha de lui. Il eut donc ses premiers amis, et leur camaraderie adolescente fut tout ce dont il avait besoin pour continuer à grandir. L’intimité des groupes d’études, les devoirs sur lesquels on bûchait en commun, les malheurs à écouter, les joies aussi, les petits débats qui se terminaient en grosses bagarres mais finalement oui on riait bien.

Un jour, Joel dit à son père qu’il voulait étudier les sciences. Alors le jeune garçon comprit que quelque chose s’était cassé en cet instant. Son père n’avait jamais trouvé le moyen de lui donner un signe d’affection ou de lui montrer une quelconque fierté non pas parce qu’il était un monstre, mais parce que les hommes ne sont pas tous humains. Pour la fierté à présent il était trop tard, car comment cet homme de lettre pouvait-il comprendre la science ? Pour lui cela ne se signifiait que par la barrière immuable entre les morts et les vivants. Telle était sa science, alors son fils perdait son temps…

Joel cessa de voir son père. Il continua ses études, fut brillant et tomba amoureux. Elle faisait partie de la petite troupe de théâtre de l’université, elle avait de grands yeux bleus. Alors Joel s’inscrit dans ce club, il fut un comédien déplorable, certes, mais Helen accepta son invitation à dîner.

Ils se marièrent. Joel, fou amoureux des contacts humains, devint professeur de biologie. Excentrique, passionné, on l’adorait où on le détestait. Beaucoup d’élèves voyaient ses cours comme une pause récréative, d’autres le considéraient comme un zouave, un demeuré.
Et puis un joueur, un jeune garçon le considéra comme un vrai professeur avec quelque chose à enseigner.
Sans Mycroft Holmes, Joel aurait fini par se considérer lui-même comme un gentil clown inoffensif. Parce qu’aucun des autres élèves ne cherchaient à se faire enseigner plus que des sciences…
Pas Mycroft.
Et ce garçon perdu, cet enfant sans père, il le prit sous son aile. Il l’aida à penser mais surtout, il l’aida à Devenir.
Un enfant sans père pour un père sans enfant, quoi de plus logique ?

Ce fils là, il ne l’abandonna pas. Et quel plaisir de le voir grandir, réussir et puis… hé bien revenir. Oui, revenir de temps à autres pour partager un thé et quelques mots. Et une part du délicieux gâteau au chocolat d’Helen parce que ça, ça ne se refuse pas.

Un jour, un nouvel élève. Le nom il le connaît, c’et encore Holmes, mais la douleur est différente. Trop colérique peut-être, trop explosive… Il lui a tendu la main et l’enfant s’en saisit avec la force du désespoir. Et cette soif de comprendre…. Parce que Sherlock était génial lui aussi, différent de son frère mais génial, oui. Il y eut des hauts, il y eut des bas, ce ne fut pas toujours facile mais Joel parvint également à le porter jusqu’au bout de sa scolarité.
A le porter en lui également, comme un père porte son enfant…

Puis vint la maladie et le deuil.

Au début il n’avait pas voulu y croire, ça paraissait tellement absurde. Helen avait juste une grosse fatigue, elle allait se reposer, il lui ferait du thé et mangerait des plateaux télés le temps de sa convalescence. Oui, tout irait bien, et c’est ce qu’il lui disait…

«Tu as toujours été un mauvais comédien »

Le cancer la foudroya en quelques mois. Elle mourut à l’hôpital, en lui demandant de bien s’occuper des enfants. Mycroft et Sherlock, car des enfants à eux, il ne leur en était jamais nés…

Ce fut eux qui le soutinrent à l’enterrement, eux qui l’aidèrent à porter le cercueil…
Et chaque jour de ces six longues années, il y en eut toujours un pour venir lui parler.Jusqu’à faire accepter à Joël le travail de deuil…
Cela prit du temps, mais désormais Joel ne se révolte plus contre sa tristesse. Il l’accepte et recommence à vivre à nouveau, bougonnant contre les trucs électroniques, demandant à Mycroft quand est-ce qu’il lui fera le plaisir de sa visite et suivant avec fierté les enquêtes de Sherlock.
Vu qu’il ne sais pas utiliser Internet, il demande à Mycroft de lui imprimer les pages de blog, après tout au gouvernement ils doivent bénéficier d’un beau budget papier, non ?


Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  Finalyp

TEST DE RP

Demain dès l’aube, alors où blanchit la campagne, il partira, il sait qui l’attend

Il n’y a pas de campagne ici, après tout on est à Londre, mais Joel voyait bien la mince couche blanche de givre se poser sur ses fleurs au balcon. Il devra les arroser en rentrant, surtout ne pas oublier… La radio crépitait un vieux rock des années 70, il sifflota l’air tout en se rasant. Chemise repassée, cravate propre et bouquet de fleur, aujourd’hui l’homme ne lésinerait sur rien !

Il ira par la forêt, il ira par la montagne, il ne peut rester loin d’elle plus longtemps

Une forêt humaine à traverser, Joel se rappelait très bien de pourquoi il détestait le métro. Un jeune homme le bouscula, bafouilla une excuse et reprit sa course. Les yeux tristes, les joues rouges comme un petit garçon honteux, l’air perdu, la fleur froissée qu’il tenait à la main… Ce pauvre garçon avait sans doute été trop loin avec sa petite amie, une silhouette féminine de dos, bien plus loin dans le couloir, et désespéré, cherchait à rattraper le coup.
Les femmes sont superbes mais ne nous donnent pas souvent le droit à l’erreur…

Comme un homme à la mer, Joel s’agrippa à la barre de l’escalator, dieu qu’il détestait tout ce genre de truc ! Mais bientôt, cette montagne mouvante le porta à nouveau à l’air libre. Dans les arbres tristes et sans couleurs, des oiseaux pépiaient. L’homme siffla à son tour et un merle lui coula un regard paresseux. Alors Joel enleva son chapeau et le salua comme un gentleman. Sur le trottoir d’en face, une petite fille éclata de rire devant ce spectacle, mais il ne l’entendait pas. Il n’entendait rien, si ce n’est le souvenir d’une voix qui peu à peu devenait plus présent. Parce qu’il se rapprochait…

Il marchera les yeux fixés sur ses pensées, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, triste et le jour sera pour lui comme la nuit.

Peu à peu, les pavillons s’espaçaient. On croisait moins d’hommes en costumes, moins de femmes en talons aiguilles : le quartier des affaires s’éloignait. Et lui, comme un jeune amoureux, il souriait de plus en plus, le cœur battant. Son bouquet était serré contre lui, il n’y avait bien que ses yeux pour être tristes, mais ça allait quand même. Un petit peu…

Bientôt, un vieux muret de pierre commença à se dresser au loin. On pouvait voir une croix s’élever parfois, moussue comme pour dénier son éternité, et grise comme une larme. Alors quoi de plus facile que de deviner que c’est un cimetière dont il s’agit ? La grille grinçait lorsqu’on l’ouvrait et les graviers roulaient sous ses semelles de chaussures de ville.
Joel commença à marcher plus lentement, il appréhendait toujours ce moment, celui du « face à face ».

Deuxième allée à droite, ensuite passe trois tombes et va sur ta gauche…

S’avancer ici, c’était comme s’enfoncer dans la nuit. Perdre une à une toutes les lumières qui un jour ont parsemé notre existence et se rappeler que la plus belle, la plus essentielle, quelqu’un nous l’a éteinte sans raison aucune. Alors il faut apprendre à ne plus hurler de colère et savoir comment pleurer, pleurer sans se tuer.

Il ne regardera ni l’or du soir qui tombe, ni les voiles au loin descendant vers Harfleur

Ah, bonjour Helen ! Comment va-tu?

Les grands yeux bleus le regardaient depuis la petite photo en noir et blanc. Elle était jeune là-dessus, sa femme, elle souriait. Doucement, Joel commença à lui raconter les derniers jours, il lui parla du chat du voisin qui venait de temps à autres sur la fenêtre, des fleurs que, oui promis, il arroserait à son retour, de Mycroft qui lui avait envoyé une lettre et de Sherlock qui s’était fait un ami. Il n’y avait pas de mauvaises nouvelles dans tout ce que l’homme avait à dire, parce que la seule mauvaise nouvelle, c’était ça : cette tombe dans ce cimetière. Des années que cela durait…

J’ai failli oublier, je t’ai pris ça… Elles te plairont j’espère ? La petite vendeuse m’a aidé à choisir.

La veille, il était allé au fleuriste dans le coin de la rue. Il avait demandé un bouquet pour pouvoir dire à une femme « je t’aime, tu es la plus belle ». Ca avait bien fait rire la vendeuse. Doucement, il déposa les fleurs sur le marbre. Il remarqua alors le gravier piétiné par endroit. Quelqu’un était venu, quelqu’un s’était recueilli ici. Au vu de la forme de l’empreinte ainsi que de la taille, il devait s’agir de Mycroft. L’homme sourit tristement… Une fois, il avait reconnu les empreintes de Sherlock. Il n’en avait jamais parlé au jeune homme, après tout, peut-être s’était-il trouvé là par hasard ?

Bon, je vais y aller maintenant… je reviens dans un mois, je promets de bien me porter. Je t’aime, Helen…

Et quand il arrivera, il mettra sur sa tombe, un bouquet de houx vert et de bruyères en fleurs.


Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  Andwho
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MessageSujet: Re: Joel Belsph - Oh Captain My Captain!    Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  EmptyLun 24 Jan - 22:57

Tu m'as fait poireauté et il est bientôt minuit

Et c'est avec plaisir, sans l'accord de John en plus, que je valide mon cher professeur ! Non, vraiment, je pense que tu as saisi la perspective du personnage qui est à la fois complexe et sobre.
Et pis, ce clin d'œil quoi ♥ xD

Famille de boulets. Erm. Bref ! Je te valide donc en espérant pouvoir ressasser le passé à travers des flash-back quand Sherlock était moins con ou des Rp modernes o/
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MessageSujet: Re: Joel Belsph - Oh Captain My Captain!    Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  EmptyMar 25 Jan - 18:45

Bonsoir !
Je ne peux pas ne pas te souhaiter la bienvenue Ô maître des maîtres !

Au plaisir de prendre un thé avec toi, ou d'aller se promener dans St James Park, ou même d'emmener des fleurs à ta défunte épouse ! Promis, je ferais en sorte de traîner Sherlock une fois toute les deux semaines, en ayant recours à l'armée nationale s'il le faut !

PS : Puis-je demander le nom de ton premier compte, vu que celui-ci semble être un double ?
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MessageSujet: Re: Joel Belsph - Oh Captain My Captain!    Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  EmptyMar 25 Jan - 19:26

Merci, mes garçons pour le bienvenue comme pour la validation, accessoirement

Et bien évidemment que j'aurai le plaisir de vous retrouver l'un et l'autre dans un rp...sans l'armée j'espère !

Mycroft> pour le double-compte, je ne peux que vous conseiller de mener l'enquête? :p
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MessageSujet: Re: Joel Belsph - Oh Captain My Captain!    Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  EmptyMar 25 Jan - 19:30

Mycroft Holmes a écrit:
Promis, je ferais en sorte de traîner Sherlock une fois toute les deux semaines, en ayant recours à l'armée nationale s'il le faut !

Jamais. J'irai me terrer.
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MessageSujet: Re: Joel Belsph - Oh Captain My Captain!    Joel Belsph - Oh Captain My Captain!  Empty

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