Sherlock 21st Century
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Sherlock 21st Century

Forum RPG inspiré par la série Sherlock de la BBC
 
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 Thomas Neil [Finished!]

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Thomas Neil
Criminel | Rital 1er
Criminel | Rital 1er
Thomas Neil

•Messages : 35
•Arrivé(e) le... : 15/06/2011
•Fiche : Les cercles n'ont qu'une place
•Thème : Gonna go wild

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☂ Profession: Parrain de la cosca Londonienne
☂ Casier Judiciaire:
☂ Rumeurs:

Thomas Neil [Finished!] _
MessageSujet: Thomas Neil [Finished!]   Thomas Neil [Finished!] EmptyMer 15 Juin - 21:42

Must be so boring in the little head of yours !


Thomas Neil [Finished!] Fistanalyze
Nom : Neil
Prénom(s) : Thomas
Sexe : Masculin
Date et lieu de naissance : Le 5 avril 1971, à la Nouvelle-Orléans, États-Unis
Groupe : Criminel
Spécialité : Parrain d’une cosca de la mafia Italo-Américaine.
Ft Michael C. Hall

Thomas Neil [Finished!] Andthen

Physique
    Un conseil. A suivre seulement si vous voulez éviter un discours enflammé sur un patriotisme d'un niveau qu'on aurait pu croire disparu de la surface de la terre.

    Évitez de lui signaler que son visage massif et son poil rouquin vous rappellent ceux d'un Irlandais.

    Bon d'accord, de nos jours, il n'est plus très clair que le sang des mafiosi soit tout à fait dépourvu d'autres gènes que ceux qui circulent en Sicile ; les règles de la Cosa Nostra, dont celle du lignage, ne sont plus suivies aussi strictement aux States. Mais s'il a les cheveux de cette couleur, il se fait fort de prétendre que c'est là un brun tanné par le soleil. Ou le contraire, un auburn qui irradie.

    Et de ce côté là, il n'a pas à se plaindre : lumineux est un adjectif qui lui correspond bien. De son sourire, qu'il a facile, à sa physionomie générale, il sent bon le chaud et l'été. Mais pas dans le genre petit-mignon-câlin, non, c'est un soleil ravageur et brûlant. Il a hérité du sourire de requin que l'on prête à ses « pairs » les banquiers, du miel des hommes d'affaires ; et il a complété le tout d'un tour de bras respectable, fruit des entrainements intensifs auquel il s'astreint pour extérioriser.

    Alors, oui, bien sûr qu'il à l'air trop propre pour ne pas paraître un poil louche, bien sûr que toute l'arrogance de ses trois pièces costard-cravate-freedent white titille les curieux, et insupporte les égocentriques. Mais ils est fort probable qu'ils ne préfèrent pas le voir s'en déparer : un vrai froncement de ses sourcils leur ferait peur. Il a les yeux noirs, le regard qui peut aussi bien plaire que transpercer, et réduire à un petit gamin honteux quiconque croyait avoir son estime. Le regard de son père.


Spoiler:

Caractère

    En voilà au moins un qui se sent plutôt bien dans sa peau, un peu trop, peut-être. Thomas est plus fier qu'il n'est conseillé, et tout ce qu'il a dans sa vie est bon à contribuer à cette fierté, de sa famille à sa propre personne, en passant par son business, ses origines. Sans l'étouffer de narcissisme, cela contribue cependant à le renforcer d'une assurance presque à toute épreuve, et un charisme certain. Plutôt homme à bomber le torse et assommer de sourires indélébiles qu'à se flatter de compliments, il est de plus d'une incroyable franchise. Héritage des coutumes siciliennes de la mafia, qui l'oblige à dire la stricte vérité à ses hommes, il étend se principe à l'ensemble de sa vie, et le seul mensonge qu'il puisse jamais tolérer, et soutenir, sera celui par omission. Cette honnêteté dicte le plus souvent sa conduite malgré l'illégalité, prohibant les coups de couteau dans le dos, et les arnaques.

    C'est grâce à cette droiture sans faille qu'il a su se faire accepter sans heurts à la tête de la cosca qu'il dirige maintenant. Petit déjà, il n'avait jamais été du genre à se laisser marcher sur les plates bandes, et il ne transige toujours pas. Et s'il est ferme et défend farouchement ses intérêts, il est aussi bon avec ses hommes, et les dirige en parfait leader. Même, son caractère ouvert lui font plus surement accepter une coopération équitablement profitable que lancer une attaque pour réduire à néant ses concurrents.

    Cependant... Cette honnêteté, cette fierté, lui confèrent une face ombrageuse, et prompte à la colère. Les bassesses qu'il ne s'accorde pas, il ne les tolère pas plus chez les autres, et se montre sur ce point tout à fait intolérant. Ses affaires, il les considère comme une extension de l'économie dans les milieux desquels celle-ci s'est retirée, jamais comme une vulgaire lutte de gang, une suite de petits coups sans sens ; et il exige donc autant de rigueur de ses hommes qu'il s'en impose lui même. Ses études et les leçons de son père ont largement contribué à vouloir garder le jeu à un haut niveau ; et par respect pour la mémoire de ce dernier, il ne cèdera aucun terrain sur ce sujet.

    Ainsi donc, il peut se montrer violent. Enfin, ceci est la violence se sa cosca, la violence dans ses affaires. Sa violence personnelle, elle, est bien plus terrible. Car sa fierté rime aussi avec beaucoup de susceptibilité, en particulier lorsque sont impliqués les noms de ses sœurs, sa mère, ou pire encore, son père. Et, froissé, il ne sait plus se modérer, et alors pleuvent les coups. Rossés, les moqueurs. Rossés aussi, en d'autres circonstances, les traitres. Le masque d'homme sympathique est facile à briser ; et même lui en a pleinement conscience. On ne dirige pas des affaires à la force de ses poings, et souvent ses crises violentes sont suivies de remord ; se laisser aller, il ne devrait pouvoir se le permettre. Il lutte, de plus en plus fortement, mais souvent aussi, il craque.

    Et c'est dans ces moments, le plus souvent, qu'il rentre errer dans son appartement. Seul. Son père aurait peut-être réussi à l'aider, le conseiller dans ses affaires, en homme de confiance absolue. Et en père, il aurait pu le soutenir, le rassurer. Le drame de sa vie, la mort de son père, de son meilleur ami. Avec ça, même s'il a surmonté l'épreuve aussi vite qu'il le devait, il a perdu un véritable lien avec l'extérieur. Ses hommes, son conseiller, lui procurent l'eau que la chaleur de ses sœurs, de sa mère, transforme en vapeur pour qu'il puisse avancer ; mais il n'a plus personne sur qui se fier complètement, et en cas de dysfonctionnement, plus personne pour le secourir. Encore un enfant ? Sans conteste, encore un peu.


Ses relations :
Sa mère.
La mama, son petit bout de soleil. Très protecteur, il s'est beaucoup rapproché d'elle depuis le décès de son père. Sans pouvoir se permettre de lui rendre visite autant qu'il le souhaite, il passe tout de même la plupart de son temps libre à ses côtés. Sans conteste, elle est une de ses plus grandes faiblesses.
Ses sœurs.
De même : s'il venait à faiblir, ce serait pour elle. Elles qu'il a déjà déçues, en continuant dans la voie tracée par son père parmi ce que Londres a de sale. Malgré cela, il s'entête à les aimer plus que de raison.

Noah Abberline.

L'ex de Nina, sa sœur. Si d'une première impulsion il lui aurait bien refait le portrait, tout le respect qu'il porte à sa sœur l'a convaincu qu'il n'était pas homme à mériter tel traitement. Et de découvrir quelque chose de proche de lui. Depuis, il en a fait l'un de ses associés, son chien en réalité.
Jim Moriarty.
Même si papa avait parfois recours à ses services, il lui a toujours conseillé de s'en méfier comme de la peste. Et il compte appliquer le conseil à la lettre.

Histoire
    Thomas est né le 5 avril 1971. C'est là que tout commence, à la Nouvelle-Orléans, c'est là que démarre une enfance peu banale, partagée entre l'école, le jeu et la famille, mais surtout, partagée entre deux langues, deux cultures, entre origine et résidence. Mais tout petit déjà, le cœur avait déjà fait son choix...

    Thomas n'était pas de ces enfants qui en veulent à leur parents de leur imposer une culture qui les rendent différents, non. Les enfants sont cruels, se moquent de ces gens qui parlent étrangement, qui mangent des pâtes au lieu de frites ; et là où on imagine que certains auraient pu volontairement s'exiler bien à l'écart du petit américain moyen, se blâmant eux même de ne pas être comme eux, Thomas, lui, il distribue les coups pour s'imposer, fier comme tout de savoir dire des gros mots que les autres garçons ne comprennent pas. Il l'a déjà embrassée, cette culture, à la vie, à la mort. Même alors qu'il n'y avait jamais mis les pieds, la Sicile était son pays, c'est le feu de l'Etna qui coule dans ses veines, jamais les eaux boueuses du Mississippi qui coulent sous les ponts sur lesquels il joue avec ses camarades, toujours en chef. Un enfant turbulent, mais jamais trop, et assez filou pour ne pas se laisser prendre la main dans le sac.

    Et puis vint le Jour, celui fait d'un petit rien, mais celui qui construisit un homme, si ce n'est nouveau, au moins grandi. Quand on est un petit garçon, on n'aime pas que sa petite sœur vienne trainer dans ses pattes quand on joue avec des copains, et vous fasse un petit sermon sur la poussière qui tache le pantalon tout neuf, et qui vaut pour les gamins une autorisation à se moquer, même gentiment. Alors, quand on met un point d'honneur à jouer les durs, on la pousse par terre, cette sœur là, on lui écorche les genoux, là, juste en dessous de la rotule. Et quand sa jupe mauve, maintenant sale, disparaît au tournant, on l'oublie, et on continue à jouer, sans laisser aux autres l'occasion d'une remarque. Sans jamais penser à la puissante main, qui le soir, va vous changer un monde. Et au regard de ce géant tant respecté, dans lequel on lit tant de déception. Et à la marque sombre, sur la pommette, qui marque plus surement qu'un fer.

    Il lui en a fallu un temps pour oser à nouveau lever les yeux, vers son père, vers sa sœur, vers le reste de la famille. Et puis, petit à petit, c'est redevenu joyeux, et il s'est à nouveau laissé aller à lire l'amour dans les yeux de ses parents et de ses sœurs. Et il décida alors que plus jamais, non, jamais, il ne voudrait y revoir ce qu'il y avait vu. Cette coutume que l'on attache à l'Italie mafieuse, d'aimer sa famille, de la respecter plus que tout le reste, il l'avait apprise par la manière fort, et plus surement que s'il l'avait gravée sur le front.

    Et la vie continua ainsi, et après le Sicilien en Amérique, voilà l'Américain-pas-si-Américain-que-ça-qui-viendrait-en-fait-d'Italie-mais-on-sait-pas-trop-on-ose-pas-demander en Angleterre. Et il s'en fiche pas mal, en fait, lui il a sa famille, les amis comptent moins quand on a un père, une mère et deux sœurs comme les siens. Il a 14 ans, il a un monde à découvrir, à conquérir. Ambitieux, toujours, un incontournable de son école, et tout en se permettant d'être sérieux.

    Ce qui lui vaut d'ailleurs une entrée facile à l'université ses 18 ans passés, et le diplôme qui va avec à 24. Pendant cette période, pourtant, ce n'est pas tant l'économie, le droit ou le management qui l'on le plus absorbé, non plus les filles, ni même les fêtes et l'alcool qui vont avec. De plus en plus, Thomas est absorbé par ses entrevues avec son père, leurs longues conversations, et peu à peu les affaires familiales... et oui, dans l'illégalité la plus complète. La révélation ne lui fit ni chaud ni froid ; il savait, et il était prêt. Et le petit lion, dedans, il l'avait aussi toujours désiré. Après le diplôme, rebelote : le métier de banquier, très peu pour lui ; un mi temps uniquement bon pour mettre un nom sur les papiers. Depuis l'entrée à l'université, peu de chose avaient changées, en fait, car cette vie qu'il menait au grand jour n'était pas sa vie. La sienne n'était plus qu'éclairée que par la lumière de son père. Une période assez extraordinaire vécue aux côtés de l'homme le plus génial, le plus important, le plus digne d'une série méliorative de superlatifs. Thomas se sentait lentement s'intégrer, à la sueur de son front, et rien ne comptait plus que les discussion affaires le soir à table, coupées par l'arrivée du repas suivie de prêt de sa mère et du rire de ses sœurs. Et le regard de son père. Il fut son ombre, puis ses mains, son bras droit, la voix dans sa tête.

    Jusqu'à ce que s'y loge la maladie. Tumeur, tu meurs ; et au delà des jeux de mots pourris, une vraie catastrophe, un peu inattendue. Son père survivait difficilement, et lui, de plus en plus, avait du mal à contrôler ses sautes d'humeur. Les affaires menaçaient de partir à vau-l'eau, jusqu'à ce que la mort mit fin à la colère, le remplaça par le deuil.

    Et depuis, Thomas n'a plus que la volonté de bien faire pour ne décevoir personne. Alors, même si le choix de poursuivre les affaires de son père plutôt que de céder aux demandes de ses sœurs de se remettre dans le droit chemin fut cruel, maintenant qu'il a été fait, il s'y tient vaille que vaille. Tant que Londres à encore ses secrets.


Thomas Neil [Finished!] Finalyp

TEST DE RP

    « Chérie, les enfants, je suis là. »

    Thomas déposa les clés de l'appartement dans le plat prévu à cet effet, sa veste encore humide de bruine londonienne sur le porte-manteau, et sans enlever ses chaussures s'avança vers la cuisine. De son réfrigérateur d'un vide alarmant, il tira une bouteille de vin, dont il se servit un verre ; de retour dans son salon, il le posa sur l'un des rares meubles, et tout en se débarrassant de sa cravate, appela encore une fois.

    « Chérie, les enfants ? »

    Cette fois, il la vit arriver de sa chambre, de son petit pas rapide, et avec un petit rire satisfait, la prit dans ses bras, jusque dans le canapé, où il l'installa sur ses genoux. Une main sur son ventre, il la contemplait avec le plus sincère des sourires, et sans faire un bruit, en retour, elle lui mordilla les doigts.

    « Oui... T'aimes ça, hein ? »

    Ses yeux dorés se tournèrent vers lui ; et elle ronronna.

    Oui, elle ronronna, comme une chaudière, de ce bruit insupportable qu'elle faisait même la nuit lorsqu'elle venait le rejoindre, un vrombissement qui le dérangeait immanquablement. Et il fallait alors qu'il se lève pour la satisfaire, sans quoi, pas de répit. D'exaspération, il la poussa de ses cuisses, et se releva pour aller chercher son verre. Sur le divan, Chérie-les-enfants se remettait sur ses quatre pattes, et telle la chatte qu'elle était, s'étira en plantant ses griffes dans le cuir tout neuf.

    Thomas avait rarement connu un chat si bruyant ; son ronronnement, auquel - Dieu merci – il avait fini par s'accoutumer aurait pu servir de réveil à un régiment d'alcooliques en pleine cuve. Tu parles d'une affaire qu'il avait faite, en l'achetant pour couper le sifflet aux femmes de la famille qui lui serinaient qu'un peu de compagnie lui ferait le plus grand bien ! Oh, sur qu'elle ne pensaient pas à se genre de compagnie, mais leur regard, la première fois qu'il leur avait présenté, en l'appelant par son nom à travers l'appartement, valait tous les emmerdements du monde. « On parlait d'une fille, Tom », sans apprécier la blague. Mais que voulaient elles, il avait toutes les filles du monde ! Et ce n'était pas à son sourire ravageur et ce qu'il impliquait qu'il faisait allusion, mais, très honnêtement, à ses deux sœurs et sa mère, chez qui il passait le plus clair de son temps libre.

    Bah, si le nom du félin n'avait que modérément plu à ses femmes, au moins avait-il bien rire le vétérinaire. « Pas le temps d'avoir une famille, faut se rendre à l'évidence, il n'y a bien que comme ça que je pourrai rentrer chez moi en disant « Ma chérie, les enfants » ! » lui avait-il lancé, pas le moins du monde chagriné par le constat. Il avait déjà sa propre famille, ses neveux et nièces étaient comme ses propres enfants. Ne manquait qu'un homme, dans tout ça, celui qui, sans le vouloir, l'avait laissé plus seul qu'il ne l'avait jamais été. Plus personne à qui confier ses doutes, plus personne à qui demander conseil.

    Un chat, un appartement impersonnel et ses costumes. La liste manquait cruellement de longueur.

    Et pourtant, de l'autre côté de la baie vitrée, Londres le contemplait, et il distinguait Londres. Et il avait peur, mais savait qu'il était heureux ainsi.


Thomas Neil [Finished!] Andwho
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Âge : 19 ans
Comment avez-vous connu le forum : Google, puis un autre membre (:
Code dans le règlement : Bingo ! ;D Et vu par Sherly~ (C'est moche, Sherly 8D)
Autre chose à ajouter ? ... Finalement, c'est dur, un personnage vachement positif. Ça me ressemble tellement peu... Mais j'aime les défis (:


Dernière édition par Thomas Neil le Jeu 16 Juin - 10:35, édité 1 fois
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Thomas Neil
Criminel | Rital 1er
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Thomas Neil

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MessageSujet: Re: Thomas Neil [Finished!]   Thomas Neil [Finished!] EmptyJeu 16 Juin - 9:46

Bon, voilà, le post qui sert à rien, qu'à dire que j'ai fini...

... normalement.
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Sherlock Holmes
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MessageSujet: Re: Thomas Neil [Finished!]   Thomas Neil [Finished!] EmptyJeu 16 Juin - 12:10

Pour Sherly, c’est la faute de Moriarty et ses goûts douteux !

Mais bref, trêve de plaisanteries, je m’occupe donc de ta fiche~

Tout d’abord, bienvenue parmi nous !
Je suis déjà ravie que Thomas soit enfin adopté mais surtout, qu’il soit aussi bien cerné dans ta fiche. À mes yeux, c’est parfait ! C’est plutôt prometteur même si tu n’as pas l’habitude de ce genre de personnages, en fait. Après, il y a les petites formalités qui sont en règle : le nombre de lignes y est, la grammaire et tout le reste passent largement aussi, le code est validé (je répète que "Sherly" vient de Momo !)… Le Test-Rp a illuminé ma journée en plus et ton style est vraiment agréable à lire.
Donc en clair, je n’ai absolument rien à redire sur ta fiche ! Avec grand plaisir, je te valide et te souhaite un excellent jeu sur le forum !

Ps : Sans te presser, pense tout de même à faire une petite fiche RP ici, le reste dans Espace Personnel étant vraiment facultatif.

Spoiler:

Edit : Je manque à tous mes devoirs... Si tu veux faire une demande de rang, le topic est , voilà !
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MessageSujet: Re: Thomas Neil [Finished!]   Thomas Neil [Finished!] EmptyJeu 16 Juin - 12:19

Merci !
C'est sur que j'ai un peu galéré pour la fiche... Mais bon, faire un personnage différent de d'habitude, ça me plait ! J'avais juste peur de faire un plat, mais bon, ça à l'air d'aller.

... Après, pour le test RP, je dois confesser quand même que l'idée me vient de cette chanson (je sais pas comment, d'ailleurs, ça fait trente ans que je ne l'ai pas écoutée). Mais je me suis fait bien rire aussi 8D

Spoiler:

Enfin bref. Merci (:
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MessageSujet: Re: Thomas Neil [Finished!]   Thomas Neil [Finished!] Empty

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