(je sais que ce personnage est prédéfini mais je savais pas trop ou me mettre pour me présenter)



Nom : Lewis
Prénom(s) : Madison, April
Sexe : féminin
Date et lieu de naissance : Le 25 Novembre 1984, à Londres
Groupe : Scotland Yard
Grade (pour Scotland Yard): Police des Moeurs, mais aide dans les enquêtes à la criminelle.
Ft [Personne sur l'avatar] Florence Welsh


Physique
Un minimum de 12 lignes soit 230 mots
Votre avatar ne vous rend pas justice, décrivez vous en détails : la couleur de vos cheveux, votre style vestimentaires, vos tatouages ... Evitez de faire un vulguaire catalogue.

Madison est plutôt belle. Elle n'est pas une "bombe" mais certains garçons tournent la tête à son passage. Et le plus beau, c'est qu'elle ne s'en rend pas compte.
Ses cheveux sont d'un roux si flamboyant qu'il faut presque des lunettes de soleil pour les regarder. Elle les laisse le plus souvent détachés, ils encadrent alors son visage ovale et font parfaitement ressortir la couleur de ses yeux. La couleur de ses yeux varie en fonction de la luminosité. Ils passent du vert étincelant en plein soleil jusqu'au gris sombre en temps d'orage, en passant par un mélange des deux lorsque le temps est incertain. Elle a les pommettes hautes, le teint plutôt pâle et des lèvres pulpeuses et bien dessinées.
Madison est très grande et en dépit de ses quelques rondeurs (car oui, elle est gourmande et assume à fond !), elle très gracieuse et féline.
Son style vestimentaire varie selon son humeur mais il est bien souvent à l'instar de son caractère : voyants et vifs. Elle aime les couleurs éclatantes et sait accorder les couleurs les plus vives.
Elle porte également beaucoup de bijoux, mais ne se sépare jamais d'un pendentif, rond et contenant la photo de son aimé. Elle a toujours une montre sur elle car elle n'aime pas perdre son temps. De même, elle porte un discret tatouage à la cheville droite, qu'elle a fait à la mort de son père, comme un hommage permanent.
Elle se maquille rarement, ou très discrètement. Si vous la voyez un jour maquillée, c'est qu'un grand évènement est en cours ou va se produire prochainement. Elle a toujours sur elle un petit calepin et un stylo dans lequel elle note tout : rendez-vous, numéro, liste de courses... et dessins.
Elle a de longs doigts fins, ce qui l'arrange car elle aime tout manipuler et surtout dessiner.


Caractère
Un minimum de 12 lignes soit 230 mots

(N'oubliez pas que nous avons des qualités, mais également des défauts. Évitez également le style "notes de course")

Une rousse flamboyante et pimpante, Madison semble être hyperactive, dormant peu et ne supportant pas le calme. Si son humeur de tornade peut sembler parfois agréable, quoique parfois excessive, ses colères n’en sont pas moins terribles. Peu de sujets peuvent la fâcher mais elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, ayant un vocabulaire parfois coloré et sans tabou. Assez fêtarde et plutôt paresseuse pour certains points, le métier de policière n’est peut-être pas fait pour Madison. Si il n’y avait que ça : ses supérieurs la jugent également trop sensible.
Par chance, sa volonté, quand elle est à ses limites, est aussi inépuisable que son énergie. Au moins, avec sa jeunesse et sa maladresse, Madison apporte un vrai mistral de fraîcheur là où elle passe. Malheureusement, c’est bien souvent une tempête…
Madison est également très intelligente mais souvent trop paresseuse pour s'en servir. Elle est très forte pour ce qui est de deviner les sentiments des gens, même ceux qu'elle vient de rencontrer. On dit d'elle qu'elle "lis les gens comme des livres". Les livres, elle les adore, tous les styles possibles et imaginables. Son style préféré reste le policier, mais elle a tendance à prendre ses livres pour la réalité.
Elle est rêveuse et ne sais pas trop faire la part des choses, ce qui énerve ses supérieurs. Elle est également très distraite, en pleine scène de crime elle peut s'exclamer d'un coup "Oh, un papillon !"... cela lui est d'ailleurs déjà arrivé.
Elle sait aussi se défendre en cas de besoin, mais aurait du mal face à un adversaire entraîné.
Le félin qui lui conviendrait le mieux serait la panthère : vive, intelligente et hyperactive.


Ses relations :
(Sa famille, des collègues, des amis, des ennemis... ?)

Sally Donovan
→ Elles se sont rencontrées durant une enquête et se connaissent donc professionnellement. Cela dit, l'humeur pétillante fatigue rapidement Sally qui préfère la fréquenter uniquement au travail. Cela ne l'empêche pas d'apprécier la jeune flicette toutefois.

Nikolaï Petrouchevych
→ Bossant dans le milieu, Madison voit régulièrement, mais de loin, le proxénète Nikolaï Petrouchevych. Elle espère obtenir des preuves contre lui et le coffrer pour passer les grades... Sans savoir qu'un certain Moriarty protège les arrières de sa cible...

Mina Almarossa
→ La meilleure amie (et presque la seule) de Madison, elle est toujours là quand elle a besoin d'elle et vice-versa. Quand le père de la rouquine est mort, elles se sont vraiment rapprochées et sont devenues quasi-inséparables. C'est également un peu la conscience de Madison "Madison, arrête !" "Mad, tu ne devrais pas faire ça..." "Attention à toi Madison."...

Son chat, Sherlock
→ Elle a donné ce nom à son chat avant de connaître l'autre Sherlock, pure coïncidence, donc...
Il est aussi noir qu'elle est rousse, avec seulement une tâche blanche sur le flanc.
Ce chat est son confident, il ne la contredit jamais, ne l’interromps pas, ne la corrige pas, et lui donne plein d'amour. L'ami parfait.

Histoire
Un minimum de 20 lignes soit 400 mots
[Les points essentiels
-25 Novembre 1984, naissance à Londres, née d’un père policer. Mère libre.
-1999 (15 ans), elle se lance dans une école artistique pour faire du théâtre, se trouvant un don pour la comédie.
-2003 (19 ans), elle rate son diplôme, bien que douée, elle ne travaillait pas suffisamment.
-2005 (21 ans), elle obtint un rôle mineur (secrétaire) dans la police grâce à son père.
-2007 (23 ans), son père meurt en service. Elle décide de partir réellement dans cette branche.
-2010 (26 ans), alors que son petit ami voulait devenir son fiancé, Madison le quitte pour s’adonner réellement dans son nouveau travail : flic aux mœurs.]
Plus de précisions :
En plus d'aimer le théâtre, Madison est passionnée par le dessin, elle est d'ailleurs très douée. Elle aime dessiner les gens avec différentes expressions, ou plus âgés. Cela surprend les gens car elle a tendance à laisser un dessin des gens avec l'expression qui reflète le sentiment qu'elle a décodé chez la personne en face d'elle. Et cela, que celui-ci soit expressif ou non.
Madison a peu d'amis, à part Mina, sa meilleure amie. A la mort de son père, abattu par un criminel juste sous ses yeux, elle s'est renfermée sur elle-même avant de redevenir hyperactive et enthousiaste. Elle a du mal à se faire des amis. De plus, elle souffre encore d'avoir quitté son petit ami, qu'elle aime toujours et dont la photo ne la quitte jamais, enfermée dans le pendentif qu'elle porte en permanence.

Elle adore les enquêtes criminelles, et va souvent donner un coup de main sur le terrain (enfin... elle s’incruste plutôt). Malgré tout, son aide est parfois la bienvenue, car elle a un instinct pour déceler même les mensonges des meilleurs mythomanes. Son rêve est de rencontrer Sherlock Holmes, et de le dessiner.


TEST DE RP
Un minimum de 13 lignes soit 250 mots

(C'est une partie importante, particulièrement pour les prédéfinis, car on peut évaluer votre niveau.
Manque d'inspiration ? Racontez un souvenir, un passage marquant de sa vie, des réflexions nocturnes, etc... Le contexte ne sera pas jugé.)

Allongée dans son lit ce soir-là, Madison contemplait le plafond d'un air pensif, ses longs cheveux flamboyants étalés autour d'elle comme une crinière soyeuse, et son chat Sherlock sur son ventre qui ronronnait doucement. Celui-ci lui était d’un grand secours lors de ses moments de peine et de détresse. Il sentait toujours quand quelque chose n’allait pas, et arrivait alors, demandant câlins et caresse, se frottant à ses jambes et finissant par lui remonter le moral à force de ronronnement.

Mais ce soir-là, malgré tous les efforts de son chat bien-aimé, elle ne parvenait pas à s'endormir, malgré deux douches, un copieux repas, et un somnifère.

En réalité, ce n'est pas qu'elle ne pouvait pas, c'est qu'elle ne voulait pas sombrer dans le sommeil.
Ces derniers temps, dès qu'elle plongeait dans la torpeur, un rêve revenait constamment. Elle revoyait ce jour. Le jour où son père s'était fait tuer sous ses yeux. Oh, elle n'était pas enfant à ce moment-là, et ce n'était pas un traumatisme qui l'assaillait, mais un sentiment de culpabilité et d'horreur.
Il était mort, sous ses yeux. Elle n'avait rien fait. Elle aurait pu se lever, attraper l'homme qui pointait une arme vers le cœur de son paternel. Elle aurait pu attirer l'attention sur elle en criant, elle aurait pu s'interposer. Mais non. Elle est restée, assise dans un coin, tremblante, sans bouger.
Ce souvenir la hantait, elle, habituellement si vive et réactive, rester là et ne rien faire.
Cela lui faisait mal. Elle se sentait faible et inutile.
Dans le noir, les larmes coulèrent silencieusement sur ses joues. Elle ne tenta pas de les arrêter. Elle les laissa couler sur ses tempes, et se perdre dans sa chevelure de feu.
Elle ferma les yeux et se mit à s'apostropher :

- Tu n'as rien fait... tu es faible... Idiote... et tu restes là, à pleurnicher...

Petit à petit, elle s'assoupit.

Elle se réveilla-en tout cas elle crut se réveiller- dans un endroit sombre. Le temps de s'habituer à l'obscurité, elle se rendit compte qu'elle était dehors. En nuisette. Mais elle n'avait pas froid. Les gens passaient devant elle, semblant de pas la voir. Elle voulut interpeller l’un d‘eux en lui touchant l’épaule, mais passa au travers. Ah d’accord, elle faisait un rêve. Un rêve fichtrement réaliste mais un rêve quand même. Elle commençait à paniquer un peu, et inspira profondément pour se calmer. Elle regarda autour d’elle pour tenter de se situer. Voyons… son café préféré ici… Le vendeur de pizzas là… en enfin le magasin de vêtement à qui elle devait une fortune. Aucun doute, elle était à Londres, dans le quartier de son enfance.
Alors que la jeune fille tentait de comprendre ce qui lui arrivait, un coup de feu retentit.
La peur l’assaillit, se répandant dans ses veines, gelant son sang, comme une vague glacée.
Elle se mit à courir vers le lieu où le coup de feu avait retentit.
Elle courait, guidée par sa peur, priant dans son esprit pour que ce ne soit pas ce qu’elle craignait.
Quand elle arriva sur les lieux, elle reconnut l’endroit. Une place vide, deux hommes, l'un portant un revolver calibre 36, et enfin… elle.
Dans un coin, tremblante, immobile, recroquevillée sur elle-même, regardant la scène avec désespoir.
Toute la peine du monde se lisait dans ses yeux gris-verts.
La vraie Madison se tourna soudain vers les deux hommes et vit son père, la main posée sur la poitrine, une tâche rouge s’étendant lentement sur sa chemise.
Puis elle vit l’homme, hilare. Il tourna les yeux vers la Madison du rêve, et ce que la rousse vit dans ce regard la fit écarquiller les yeux, puis hurler de terreur. Une terreur pure, indescriptible. La vraie Madison hurla avec elle et sombra dans un monde de douleur et de culpabilité.

Elle se réveilla soudain en sursaut. C’était le petit jour, le soleil brillait joyeusement, inconscient du chagrin de la jeune fille. Celle-ci se remit à pleurer à chaude larmes. Elle avait rêvé de son père. Encore. Elle revoyait le regard de l’homme, et ce qu’il avait fait après le meurtre de son père.
Ce regard la hantait, et la hanterai toute sa vie.

Elle se calma et se prépara pour une nouvelle journée de travail, dans la joie et la bonne humeur.
En apparence.



Pseudo : Clarinette
Âge : 15 ans
Comment avez-vous connu le forum : En cherchant sur internet
Code dans le règlement : Vu par le Doc

Autre chose à ajouter ? Meuh ^^* (hum...)

?
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