Nom : Lestrade
Prénom(s) : Gregory
Sexe : Masculin
Date et lieu de naissance : 31 octobre
Groupe :  Scotland Yard
Grade (pour Scotland Yard) : Inspecteur
Ft Rupert Graves


Physique
Un minimum de 12 lignes soit 230 mots

Comment décrire physiquement quelqu'un qui n'accorde pas bien d'importance aux yeux qui se posent sur lui ? Évidemment, ce n'est pas pour cette raison que Lestrade ira jusqu'à se négliger, mais il ne prend pas soin de son corps pour plaire à qui que ce soit. Il le fait par soucis de santé et peut-être aussi par convention social. Dans son travail, avoir l'air d'un alcoolique sortant à peine du lit n'était pas à conseiller. Il est donc aussi bien habillé que possible, préférant les vestons simples mais beaux, les pantalons confortables et les longs manteaux. Il fait en sorte que tout paraisse le meilleur possible, mais il a perdu, dans son mariage, quelques habitudes qu'il reprend très lentement depuis la mort de sa femme. Si son veston est toujours impeccable, sa chemise est parfois oubliée et demanderait donc un léger repassage.

Quant à son physique plus précisément, il tient à ses cheveux courts, coupés le plus droit possible. Il n'aime pas qu'ils soient longs et fonce chez le coiffeur dès que sa patience envers eux est mise à rude épreuve. L'avantage à cette longueur est la facilité avec laquelle il les coiffe. Aucun besoin de perdre du temps. Le fait par contre qu'ils deviennent de plus en plus poivre et sel l'agace et lui rappelle à chaque jour qu'il vieillit et qu'un jour il le sera trop pour son métier.

Il a les yeux bruns, ce qui est complètement banals, mais qui cachent une lueur vive d'un besoin d'action. S'il faut réellement ajouter quelque chose, disons simplement qu'il se rase de près. Il a bien l'apparence légère d'une barbe, mais ça lui ajoute une touche plus mûre qui ne lui déplaît pas.

Caractère
Un minimum de 12 lignes soit 230 mots

Les avis sur Lestrade sont assez mitigés. Ou du moins se classent en deux catégories. Comment les êtres humains le voient. Comment Sherlock Holmes le voit. Le deuxième avis lui importe moins que le premier.

Selon l'être lambda, il est quelqu'un de très humain possèdant une morale et une maturité très honorables; il n'irait pas risquer la vie de quelque d'autre à la place de la sienne, il surveille ses hommes, veille sur eux et fait tout son possible pour qu'il ne leur arrive rien et voit même à la sécurité des civils – autant qu'il le peut n'étant pas omniprésent. D'un tempérament sérieux, il possède une sagesse et une certaine empathie qui lui a permis de monter les échelons par le passé, mais qui lui permet aussi de comprendre les personnes avec qui il travaille et avec qui il doit parfois argumenter. Il est indulgent – trop parfois selon quelques personnes du Yard voyant d'un mauvais oeil l'assistance de Sherlock dans les enquêtes – et sait faire bonne usage de l'écoute. Il s'occupe des autres, s'assure de leur bien être et adore le métier qu'il fait; il serait peut-être possible de voir là la raison de cette négligence dans sa propre vie privée.

C'est un homme d'action, vif et parfois prêt à prendre des mesures désespérées si cela peut servir son enquête ou un but précis. Ainsi s'attaquera-t-il de manière tout à fait légale à ses collaborateurs lorsqu'il croit que ces derniers ne sont pas assez volubiles ou coopératifs. Il prendra parfois des chemins tortueux pour arriver à ses fins, mais personne n'en ressortira blessé ou mort. Il fait ce qu'il a à faire, se cachant parfois à sa propre morale lorsqu'il lui faut user des grands moyens, mais ne pouvant ignorer la souffrance d'un autre.

Les autres avant lui. Et ce même s'il n'est pas l'homme suicidaire se terrant dans son coin et se laissant mourir. Non. Il est lucide, terre à terre et surtout il tient à la vie. Il a vu beaucoup trop de morts atroces ou de malheurs dans sa vie pour songer ne serait-ce qu'un instant à mettre fin à ses jours. Il sait qu'il faut des efforts pour être heureux ou bien et fera ce qu'il faut pour être confortable avec lui-même.

Il peut parfois faire figure de grand frère agaçant pour certaines personnes, ayant une plus grande expérience et ayant aussi fait des erreurs, il cherche simplement à avertir les autres des dangers qu'ils peuvent courir.

Ne vous y trompez pas...Lestrade a beau avoir un sourire à tomber et des manières très civilisées, il a une attirance pour le cynisme ou l'humour noir ainsi que la mauvaise habitude à parfois se laisser aller à quelques pulsions de paresse ou même quelques caprices enfantins. Il n'est pas infaillible et en a parfaitement conscience, d'autant plus qu'il lui arrive de perdre son assurance et sa confiance en lui, ce qui le pousse à user de méthode semblant désespérée et irréfléchie. Pourtant, toutes ses décisions sont teintées d'une grande réflexion, à moins d'une urgence qui ferait monter l'adrénaline.

Ainsi oui il se repose sur le talent de Sherlock Holmes, mais est-ce par paresse ? Est-ce par manque d'assurance ? Par manque de solutions ou d'alternatives ? Ou est-ce simplement parce qu'il a pesé le pour et le contre avant de voir que pour sauver des vies, le jeune homme est le mieux placé lorsque la solution fuit ?

Après tout, Lestrade est un professionnel ayant su charmer ses patrons. Qui sait s'il n'y a pas un côté légèrement manipulateur derrière ce visage irréprochable ?

Ses relations :

Sherlock Holmes:
Ce jeune homme...aussi agaçant, insupportable et chiant qu'utile voir même nécessaire. Évidement il est souvent exaspéré par ses caprices mais aussi émerveillé par ses capacités hors de la norme. S'il craint qu'un jour Sherlock ne bascule du mauvais côté, il le respecte néanmoins beaucoup plus que ses collègues ne semblent l'apprécier.

Sally Donovan:
Sally est celle qui lui fait souvent se demander comment il fait pour travailler avec autant de gamins capricieux. D'un caractère fort sa présence plaît à Lestrade qui ne peut que féliciter son ardeur sur le terrain, mais il désespère à chaque fois qu'elle lui fait une crise à cause du civil auquel il fait trop souvent appel – d'après ses dires. Il espère qu'elle comprendra un jour que ce n'est pas par jeu qu'il appelle Sherlock, mais après un choix particulièrement ardu à prendre.

Anderson:
Un homme au caractère assez difficile qui met parfois les nerfs de Lestrade à rude épreuve, même s'il ne peut lui en vouloir de douter de Sherlock.

John Watson:
Il l'a rencontré la première fois sur une scène de crime et même si le fait d'accueillir un deuxième civil dans ses enquêtes ne lui plut pas au premier abord, il doit avouer qu'il est quasiment soulagé que Sherlock ne soit plus tout seul et en vient même à respecter le compagnon du détective.

Histoire
Un minimum de 20 lignes soit 400 mots

Lestrade est né dans une famille des plus banale. Mère à la maison, père au Yard. Si vous vous attendiez à une histoire pleine de romance, de rebondissements et de tournants, partez. Sa vie n'a été au début qu'une longue promenade normale que tous les enfants entreprennent. Il appris à marcher, à parler, à mordre, à compter, à lire et à écrire (pas nécessairement dans cet ordre) dans un laps de temps relativement court. Non, ce n'était pas un génie mal compris, juste un enfant dont les parents voulaient un apprentissage rapide, mais aussi un enfant enthousiasme qui aimait l'école. Il était extrêmement studieux, jusqu'à l'adolescence. Là par contre, ça se corsa un peu.

Il devint...paresseux, beaucoup moins enthousiasme et surtout beaucoup plus capricieux et difficile. Cette période de sa vie mis ses les nerfs de ses parents (ou plutôt les nerfs de tous) à grande épreuve. Il lui arrivé de piquer des crises de colère pour rien, avec des périodes superbes à l'école et d'autres où ses notes dégringolaient. Peu sûr de lui, il était dans une phase très orageuse de sa vie, très déséquilibrée aussi. Il se cherchait. Littéralement. Essayait de comprendre comment les gens voyaient la vie. Il était violent parfois, agressif. Avait déjà frappé quelques personnes à l'école, quelques tours chez le directeur aussi bien entendu et vu de nombreuses fois une certaine déception dans les yeux de sa mère.

Une des raisons pour lesquelles il finit par se ranger et se calmer lorsqu'il eu 18-19 ans. Les crises étaient finit. L'autre raison: le Yard. Le métier de son père. Ce métier qui l'avait pendant longtemps laissé indifférent le charmait plus il vieillissait. Après tout, son père était toujours très occupé, revenait parfois essoufflé ou bien très fatigué et même, il réussissait quelques fois à le convaincre de raconter ses enquêtes. L'action, l'adrénaline, la peur, mais aussi l'impression de faire quelque chose de bien dans ce monde de brute. Il avait passé un marché avec son père: s'il se calmait, il pourrait peut-être apprendre. Ce que Lestrade fit. Il se calma et sa personnalité changea assez radicalement quelques années plus tard. Il n'était pas encore l'homme calme, sérieux et sage d'aujourd'hui, mais il était déjà beaucoup plus mature que le gamin perturbé d'avant.

Lorsqu'enfin il entra au Yard, ce n'était plus de la déception qu'il voyait sur le visage de sa mère et son semblait assez fier pour ne pas nier avoir un fils dans les mêmes forces de police que lui. Il apprit à ses côtés, mais vivait beaucoup plus dans son ombre qu'autre chose. À cette époque-là, il ne gravit aucun échelon, n'étant alors que derrière un grand homme. Pourtant, il n'en était pas réellement déprimé. Il se contentait de pouvoir faire son boulot tranquillement alors que d'un autre côté, son père faisait tous les efforts auprès des patrons. Lui pouvait faire ce qu'il aimait en laissant la source couler sans s'en préoccuper.

Jusqu'à ce que son père meurt en service.

Si ça mère explosa de chagrin, Lestrade fut beaucoup plus réservé et ne se permit de pleurer – légèrement – que lorsqu'il alla visiter sa tombe, seul. Il allait devoir donner beaucoup plus d'efforts, mais il le ferait pour lui. Pour continuer ce qu'il avait déjà fait. Il oublia pourtant son but quand il dut s'occuper de sa mère, puis de son propre travail. Ses collègues de ce temps-là, beaucoup plus dociles, se fiaient beaucoup sur lui et même si ça le mettait en confiance, ça avait aussi le don de le perturber et de le faire parfois douter. Pourtant, ce fut avec cette équipe qu'il gravit la plupart des échelons.

Le premier fut pendant un braquage de banque. La première équipe arrivée n'arriva à rien d'autres qu'à récupéré le corps d'une victime, mais lorsque Lestrade et ses collègues arrivèrent en renfort, les choses réussirent à rentrer dans l'ordre peu à peu. Lis comme ça, c'était facile, mais Lestrade en sortit avec une blessure bénigne et un sentiment de culpabilité pour la deuxième victime. Tout s'était par la suite mis en branle, le suspect avait été appréhendé et après des années de service, ses supérieurs le jugèrent apte à monter dans la hiérarchie.

Il rencontra Emily vers l'âge de 30 ans et se maria cinq ans plus tard. Évidemment, il n'était pas l'homme le plus présent pour sa femme, mais elle le comprenait et acceptait ses arrivées à n'importe quelle heure de la nuit, les appels du bureau alors qu'ils dormaient, les urgences de dernière minute. Elle était indulgente et Lestrade avait retrouvé l'équilibre qu'il croyait perdu à la mort de sa mère, quelques années auparavant.

Il monta en grade une nouvelle fois après avoir sauvé un de ses collègues pendant une mission particulièrement délicate. Ce n'était pas lui qui avait eu le coupable, mais son acte de bravoure sembla suffire. Il était adulte, responsable et guidait son équipe avec un brio qui ne les laissait pas insensible.

Environ dans la même époque de son mariage, Lestrade rencontra Sherlock Holmes, un jeune civil qu'il soupçonnait de possession de substances illicites. Il l'interrogea un moment jusqu'à ce que leur interrogatoire tourne vers ses enquêtes en cours. Il fut extrêmement étonné par ce que le jeune délinquant eut à lui offrir, mais le fut encore plus lorsque ses tuyaux se révélèrent les bons. Cinq enquêtes qu'il boucla ainsi avant de voir qu'il pouvait être un sérieux atout pour le Yard. Depuis ce temps-là, Lestrade l'appelle souvent pour lui demander de l'aide lorsque sa propre intelligence n'arrive pas à démêlé les mystères.

Il vit au travers de Sherlock un garçon extrêmement doué et extrêmement perturbé qui avait le mérite d'être intelligent. Il lui permit de s'occuper des affaires du Yard, même s'il craint à chaque instant qu'il ne retombe dans ses mauvaises habitudes ou qu'il ne change de camp, mais il apprit bien rapidement à faire avec le comportement et le caractère plus que capricieux de son nouvel allié.

Emily mourut deux ans après sa rencontre avec Sherlock. La maison désormais vide, lui de nouveau seul, Lestrade ne put reprendre une vie normale qu'en travaillant encore plus, préférant les heures supplémentaires à une nuit seul chez lui. Il se rend parfois au cimetière, que ce soit pour ses parents ou sa femme.

Pour le moment, il ne désire pas grand chose, sauf peut-être pouvoir continuer de veiller sur ses collègues et sur son jeune aidant pendant un long moment encore.


TEST DE RP 
Un minimum de 13 lignes soit 250 mots

Tout s'enchaînait avec une déconcertante folie. Rapidement donc. Trop à son goût. Il n'avait pas eu le temps de le voir venir et pour ajouter à son trouble, il fallait que ses hommes soient tout autant dépassés par tout cela que lui-même. Ce qui était ridicule. Leur boulot était justement de mettre fin à ce genre de pratique. Leur boulot était d'analyser puis de résoudre une affaire telle que celle dont il avait été chargé quelques jours auparavant.

Et pourtant, il devait bien y avoir une solution.

Il faisait les cent pas, dans son bureau, incapable de rester assis ou même immobile. Le fait que l'enquête stagne de cette façon l'agaçait et pourrait le mettre hors de lui s'il n'avait pas assez de sang froid pour posséder un total contrôle de lui-même. Il essayait. Il tentait de remettre de l'ordre dans ses idées et dans les indices qu'ils avaient. C'était si peu. Rien de véritablement concret. Il s'agissait de meurtres bon sang ! Sûr qu'il devait y avoir une réponse quelque part !

Oh, ils avaient eu une piste. Un mur. Un mur de béton qui l'avait fait chancelé. L'homme à laquelle la piste menait était mort. Ils avaient comparé son ADN, fait des recherches et ce n'était pas leur coupable. Donc une autre victime. De leur tueur ou bien était-il victime dans une toute autre affaire ? Ils l'avaient retrouvé deux jours après le deuxième crime et quatre après le premier. L'assassin suivait donc une logique. Laquelle ? Lestrade n'était pas le meilleur pour incarner les pensées de ceux qu'il recherchait, mais il n'en était pas moins intelligent. Il n'était pas un incapable et avait déjà résolu des crimes qu'il jugeait beaucoup plus complexes que celui-ci.

Il entendit la porte s'ouvrir et ses yeux cachant sa fatigue se levèrent vers Sally alors qu'elle entrait, laissant par la suite tomber – avec sa douceur habituelle – un dossier devant lui. Il n'avait pas dormit depuis les deux derniers jours et vivait de café abject, mais au moins il pouvait travailler. Il interrogea la jeune femme du regard, mais au vu de son mutisme, il dut lui-même consulter le dossier. Après quelques lignes, son visage s'assombrit. Il ferma les yeux et passant une main contre son visage. Un nouveau meurtre, même mode opératoire et la promesse d'un quatrième. L'équipe fouillait présentement les lieux et sa présence était requise.

Évidemment qu'il allait y aller, évidemment qu'il allait vérifier tout ce qui se trouverait dans son champs de vision. Pourtant, son assurance avait flétrit. Manquerait-il encore des indices qui pourraient le mener au meurtrier ? Allait-il pouvoir arrêter cette série d'homicide ? Agrippant son manteau au passage, il sortit, suivit de Sally et se dirigea vers son véhicule.

Quelques temps plus tard, ils étaient enfin sur les lieux du crime.

Sortit de son véhicule, il étouffa un bâillement et rejoignit sans tarder le légiste qui travaillerait avec lui pour la soirée. Anderson. Qui travaillait en fait avec lui depuis le début de cette enquête. Ce n'était pas qu'il le détestait ou tout autre raison non professionnel et ce même s'il ne lui plaisait pas. Lestrade le supportait. Travaillait avec lui. Point final. Professionnel. Malheureusement, il devait bien être l'inspecteur le plus malchanceux du Yard, car bien qu'il respectait leurs talents respectifs, il devait travailler avec deux jeunes gens d'un naturel plutôt sauvage. Qui ne se gênaient pas d'ailleurs pour lui reprocher ses manières quand ils n'étaient pas d'accord. Ils le respectaient oui, mais ils étaient loin des collègues beaucoup plus dociles qu'il avait pu avoir au début de sa carrière.

Il écouta néanmoins attentivement ce qu'Aderson avait à lui dire, puis alla jeter un coup d'oeil au corps. Sans qu'il ne s'en rende compte, ses doigts heurtèrent son téléphone accroché à sa ceinture. Il cilla. Il hésitait encore. Après tout, ils pouvaient toujours trouver quelque chose sur cette scène et le dossier serait donc régler. Ils n'avaient qu'à fouiller, car le criminel devait faire une erreur. C'était le propre de l'être humain.

Ses yeux retombèrent sur la victime.

Tout autour de lui les gens s'affairaient, mais il n'en prenait pas conscience. Il était face à deux choix à l'apparence extrêmement simple: il pouvait continuer cette enquête de lui-même, s'appuyer sur ses connaissances et celles de ses hommes – ce qu'il faisait toujours – et tenter de faire ce qu'il avait échoué depuis le début de l'enquête, ou bien appuyer sur une simple touche pour que se compose automatiquement un numéro qu'il avait enregistrer à force d'habitude. Il l'avait bien trop souvent composer et son côté un peu paresseux avait décidé qu'une seule touche lui suffirait à composer le tout.

Maintenant, il doutait.

Il était doué bien entendu, sinon il ne serait jamais monté jusqu'au rang d'inspecteur, mais il savait mieux que quiconque qu'il n'était pas un être infaillible. Devait-il alors risquer un quatrième meurtre simplement pour épargner son égo ? Des vies étaient en jeu et il avait laissé tout cela durer beaucoup trop longtemps. Une. Seule. Touche. Et tout pouvait se régler.

Derrière lui, il sentait le regard désapprobateur d'Anderson et de Sally. Il adoptait toujours la même immobilité lorsque sa main se posait sur son téléphone et ils avaient certainement deviner ce qu'il réfléchissait à faire. Le sortant – et ignorant leur grognement – il appuya sur la touche automatique et porta l'appareil à son oreille, décidé. Comme à l'accoutumé, il n'eut pas à attendre bien longtemps pour que le civil réponde.

-Sherlock ? Lestrade à l'appareil. Rencontrez-moi à cette adresse le plus rapidement possible. Cette affaire pourrait vous intéresser.

Et lui éviter par le fait même de mourir d'ennui ou de faire une bêtise. Bien qu'il comptait surtout sur la deuxième option.

Il raccrocha finalement en sentant un poids s'enlever légèrement de ses épaules. Le relais venait d'être passer. Alors qu'Anderson et Sally ruminaient dans leur coin, Lestrade continua son boulot le temps que le jeune homme n'arrive sur les lieux. Il n'avait aucune idée de la raison de cette confiance envers Sherlock...ou était-ce réellement de la confiance ? Quoi qu'il en soit, il était prêt à tout pour éviter à une autre personne de mourir. Si cela devait signifier risquer de temps en temps sa réputation et carrière pour qu'un civil démêle l'énigme là où ils étaient bloqués, et bien tant pis.

Au moins, ça lui permettait de dormir le soir.

Âge : 19 ans
Comment avez-vous connu le forum : Annuaire de forumactif
Code dans le règlement : OMG UN L... Je veux dire vu par le Doc'
Autre chose à ajouter ? Non, ce que je voulais régler a été fait plus rapidement que ce que je ne pensais. Merci à l'admin pour la vitesse de réponse. C'est parfois rare et très apprécié.

Bienvenue sur le forum et wow !
Tout ça de fiche ^^
Bonne chance pour l'histoire

Présentation Terminée.
Edit: Doit avouer avoir eu quelques difficultés avec l'histoire. Alors me demander d'y remettre la plume ne me dérangera pas (ne m'étonnerait pas non plus)

Bonjour,

Alors, pour ma part, tu es à moitié validé (l’autre 50%, c’est John qui doit en décider, mais si il tarde trop, hein, j'archiverai quand même). Malgré les quelques fautes, d’inattention probablement, et pis vu l’heure et la longueur du texte, c’est compréhensif et loin d’être dérangeant.

J’ai vu dans le caractère que tu avais en tout cas saisi l’esprit du personnage (de mon point de vue), et je pense que l’évolution durant le RP sera très intéressant, lui offrant vraiment une dimension réelle, et ça, bah… J’aime quoi !

Pour l’histoire, je comprends, c’est toujours la partie la plus dure à rédiger… Mais honnêtement, j’adore, pour la simple raison qu’elle est réaliste, correcte et que j’imaginais très bien Lestrade comme ça dans sa jeunesse : tu l’as fait évolué au début de sa vie, en trouvant des explications logiques, donc pour moi, c’est parfait !

Et le Test-Rp est excellent, un récit fluide, l’hésitation de Lestrade qui est bien menée, etc.

Bref, tu as mon feu vert ! (et je ne pense pas que mon collègue aura quelque chose à dire, ose, John, ose !)

PS :

G. Lestrade a écrit:

Autre chose à ajouter ? Non, ce que je voulais régler a été fait plus rapidement que ce que je ne pensais. Merci à l'admin pour la vitesse de réponse. C'est parfois rare et très apprécié.

Mais de rien, j'étais pas en période de flemme, des fois, je peux mettre plus longtemps pour répondre *out*

Un double-post, mais considérez que c'est John qui flemmarde bosse.

Alors, elle dit aussi de faire attention aux fautes, mais que sinon...

Tu es validé~ !

Il ne te reste plus qu'à faire une demande de rang, une fiche de RP de préférence et le reste, c'est en option.

Bon jeu, mon cher Lestrade !

Merci bien vous deux. J'espère ne pas vous décevoir en jeu
Oh et désolé pour les fautes. Je crois que je n'ai pas relu l'histoire...

Bonjour !
Certes, tu es déjà validé, mais je ne pouvais pas ne pas te souhaiter la bienvenue. Après tout, Lestrade quoi ! Ce personnage est divin ( en particulier l'adaptation qu'en a fait la BBC ).

Bref ! Bienvenue détective, et navrée auprès des admins s'il m'était interdit de poster ici après sa validation !

Mycroft Holmes a écrit:

Bref ! Bienvenue détective, et navrée auprès des admins s'il m'était interdit de poster ici après sa validation !

Si John a quelque chose contre, moi non, même en retard (tu avais rendez-vous chez le dentiste, Mycroft ?), ça fait toujours plaisir !
Je le dis pour les autres membres aussi qui hésitent à souhaiter la bienvenue avant ou après la validation.

Merci Mycroft !
Et je suis d'accord avec toi, surtout pour l'adaptation de la BBC

Hey bienvenue ♥

Elle en jette ta fiche quand même.

Tu vas souffrir hahahahahah.

/sors

Les deux en même temps, je suis honoré *mais voyons*
Merci Moriarty
et quant à la souffrance, j'ai bien hâte de voir ça Nos cages ont justement été réajustée à ta grandeur. Alors si jamais tu veux venir faire visite de courtoisie, je me ferai une joie de t'y accueillir !

Merci pour l'accueil.